MON BEAUF
Une abscence d'une dizaine de jours et me revoilà. Ce que j'ai à partager n'est certes pas de la joie mais...
Je crois qu'il n'y a que dans les films que l'on rencontre le "gendre idéal". Mais dans la catégorie beauf idéal, le mien avait le pompon.
Mon beauf nous a quitté brutalement a 34 ans, laissant derrière lui une famille hébétée, trois petits enfants incrédules et démunis face à ce manque, privés ainsi "à vie" d'un de leur pilier, leur arbre de vie.
Ses éclats de rire si communicatifs, sa bonne humeur et ses passions qu'il aimait faire partager, laissent un grand vide autour de lui.
Finis les paniers remplis de champignons, il est parti sans nous révéler ses petits coins...
Alors voilà, depuis je fais très attention à mon ptit homme, je le surveille du coin de l'oeil, perdre son petit frère, merde. Je fais ce que je peux pour être là, tout simplement, pour lui, et sa famille.
Et je sais qu'après le choc, l'état de manque va se faire sentir très fort et qu'il va falloir quelques mois pour apprendre à vivre sans.
Je le vois rentrer les yeux rouges, je surprend parfois une larme au milieu de tout, de rien, je l'essuie et le serre fort.
Un des morceaux choisis le jour de l'adieu.
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de son aînée, Lou, 9 ans... Je ne vois même pas ce qui pourrait te rendre heureuse en ce jour, Lou, hormis un rêve innaccessible....
Mais... comme nous le savons tous, life must go on, alors après cet adieu à mon cher beauf je reprends le fil de ce blog, avec la conviction encore plus renforcée qu'il nous faut profiter à fond de ces instants de vie, et de ceux que nous aimons.
Je crois qu'il n'y a que dans les films que l'on rencontre le "gendre idéal". Mais dans la catégorie beauf idéal, le mien avait le pompon.
Mon beauf nous a quitté brutalement a 34 ans, laissant derrière lui une famille hébétée, trois petits enfants incrédules et démunis face à ce manque, privés ainsi "à vie" d'un de leur pilier, leur arbre de vie.
Ses éclats de rire si communicatifs, sa bonne humeur et ses passions qu'il aimait faire partager, laissent un grand vide autour de lui.
Finis les paniers remplis de champignons, il est parti sans nous révéler ses petits coins...
Alors voilà, depuis je fais très attention à mon ptit homme, je le surveille du coin de l'oeil, perdre son petit frère, merde. Je fais ce que je peux pour être là, tout simplement, pour lui, et sa famille.
Et je sais qu'après le choc, l'état de manque va se faire sentir très fort et qu'il va falloir quelques mois pour apprendre à vivre sans.
Je le vois rentrer les yeux rouges, je surprend parfois une larme au milieu de tout, de rien, je l'essuie et le serre fort.
Un des morceaux choisis le jour de l'adieu.
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de son aînée, Lou, 9 ans... Je ne vois même pas ce qui pourrait te rendre heureuse en ce jour, Lou, hormis un rêve innaccessible....
Mais... comme nous le savons tous, life must go on, alors après cet adieu à mon cher beauf je reprends le fil de ce blog, avec la conviction encore plus renforcée qu'il nous faut profiter à fond de ces instants de vie, et de ceux que nous aimons.